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A – B

A

ALARDIN (Jean-Louis), cabaretier à Bruxelles. Volontaire nivellois. Blessé d’un coup de feu à la cuisse droite, le 25 septembre 1830, en combattant près des Etats généraux, à Bruxelles.

ALARDOT (Ghislain-Jos), sous-lieutenant adjudant de place à Malines. Volontaire namurois. Blessé, le 25 septembre 1830, à la grille faisant face à la Montagne-du-Parc, d’un coup de feu au bras droit, qui nécessita l’amputation de ce membre.

ALGRAIN (Paul-Joseph-Xavier-Léon), commis voyageur, demeurant à Ath. Contribua à l’enlèvement d’une pièce de canon à Ath, l’amena à Bruxelles, le 10 septembre 1830 ; il fut un des onze volontaires de l’expédition de Groot-Zundert et se fit remarquer, le 21 décembre, à Esschen par sa bravoure.

ANCIAUX (Antoine), capitaine au 12e régiment de ligne. Il commandait un détachement de volontaires de Fleurus pendant les journées de Bruxelles ; fit preuve de bravoure, le 26 septembre 1830, en contribuant à enlever, sous le feu de l’ennemi, un caisson chargé de munitions.

ANSROUL (Philippe), docteur en médecine, demeurant à Bruxelles, rue des Sols, n° 16 Pendant les journées de Bruxelles, il recueillit les blessés dans les maison du Parc, et les fit transporter chez lui, où il donna les premiers soins.

ARNAUTS (François), maréchal des logis au 2e régiment de lanciers. Répondant à l’appel national, il vint se ranger sous le drapeau de l’indépendance, et se fit remarquer par sa valeur dans les combats livrés de Bruxelles à Maestricht.

ARNOUT (Joseph), soldat au 7e régiment d’infanterie. Blessé d’un coup de feu à la jambe droite en attaquant, à la tête des volontaires de Tervueren, le 24 septembre 1830, les avant-postes ennemis au bois de Linthout.

B

BACKAERT (Arnold), pensionné de la révolution, à Bruxelles. Blessé d’un coup de feu à l’œil droit, le 23 septembre 1830, en combattant Montagne-du-Parc.

BACKX (Auguste), sous-lieutenant au 1er régiment de lanciers. Volontaire malinois. Il pénétra à plusieurs reprises dans le Parc à la tête des combattants, se rendit à Malines, encore occupée par les Hollandais, paré des couleurs nationales, et fut un des chasseurs volontaires de Bruxelles qui, au combat de Waelhem, le 21 octobre 1830, accompagnèrent le porte-drapeau lorsqu’il alla, sous le feu de l’ennemi, planter et reprendre son drapeau sur le pont.

BALSAC (Charles), pensionné de la révolution, à Bruxelles. Blessé d’un coup de feu à la main gauche, le 23 septembre 1830, en combattant rue Royale, en face de l’hôtel de Belle-Vue.

BARBANSON (Jean), ferblantier à Bruxelles. Blessé d’un coup de mitraille à la jambe, le 23 septembre, en défendant une barricade, rue de Louvain ; il continua, les jours suivant, à combattre malgré ses souffrances, et fut fait prisonnier le 25, les armes à la main, en cherchant à pénétrer dans le local des Etats généraux.

BARTELOUS (Jacques-Joseph), militaire pensionné, à Bruxelles. Blessé d’un coup de feu à la jambe droite, le 26 septembre 1830, en combattant à la barricade de l’hôtel Belle-Vue, place Royale.

BARTELS (Edmond-Gabriel), capitaine au 2e régiment de chasseurs à pied. A l’attaque d’une position ennemie près de Lierre, il s’élança le premier dans un retranchement, qui fut enlevé à la baïonnette.

BARY (Jean-Baptiste), chirurgien, à Nivelles (Brabant). Volontaire nivellois. Pendant les quatres journées et dans les combats livrés sur la ligne de Bruxelles à Anvers, il recueillit les blessés et leur donna des soins sous le feu de l’ennemi.

BATTAILLE (Jean-Baptiste), lieutenant au 1er régiment d’infanterie, désigné parmi les bourgeois armés qui donnèrent l’exemple du courage au combattants ds journées de Bruxelles.

BATTAILLE (Jean), de Bruxelles, élève en peinture à Paris. Pendant les journées de Bruxelles, il pénétra à diverses reprises dans le Parc. A Berchem, il releva un blessé sous le feu de l’ennemi.

BATTAILLE (Achille), docteur en droit à Bruxelles. Le 23 septembre 1830, il sortit de la porte de Schaerbeek attaquée par les ennemis. A Berchem, il fut un des trois chasseurs bruxellois qui, avec une quinzaine de volontaires, débusquèrent, le 24 octobre 1830, les Hollandais du parc du château de M. Verbroeck-Pieters. Il y reccueillit son frère, grièvement bléssé. Un des chasseurs qui se distinguèrent au château de Caster, le 19 janvier 1831.

BATTAILLE (Hippolyte), employé à la cour des comptes à Bruxelles. L’un des premiers combattants de la porte de Schaerbeek, le 23 septembre 1830, au matin. Volontaire bruxellois, il fut atteint d’un coup de feu à la poitrine, au combat de Berchem, le 24 octobre.



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